Ciné petit dej..


au cinématographe du 02 au 08 avril
ciné petit déj...
Jeudi 24 avril à 9 hau cinématographe
4 euros
(1 entrée, 1 thé à la menthe, pâtisserie orientale)
FILM De Philippe Faucon
Esther, une femme âgée de confession juive, a besoin d'une assistance permanente. Mais elle use ses gardes-malades, du fait de sa mauvaise humeur, et la dernière en date vient de démissionner. Elie, le fils d'Esther, ne sait plus quoi faire. Sélima, l'infirmière de jour, propose les services de sa mère, Halima, musulmane pratiquante. Contre toute attente, une vraie complicité se crée entre les deux femmes. Halima sait se faire apprécier et respecter. Pleine d'énergie, elle redonne à Esther le goût de vivre.
Ce film fait parti d’actions menées dans le cadre de la Marelle, en partenariat avec le point rencontre, le cinématographe, et la MJC, d’un travail sur le lien social, « le faire société »
dossier pédagogique sur,

Rien à voir au Cinématographe?

Et à part les "CH' TIS" que peut-on voir au Cinématographe?

Voilà longtemps que je n'ai plus communiqué sur le blog. Et pourtant que de choses à dire! Tout d'abord le remarquable stage Jean DOUCHET sur trois films de BERGMAN (Monika; le Septième Sceau;Saraband). A la suite, une remarquable oeuvre d'art intitulée:" Peur(s) du noir" Il s'agit d'un montage de six animations sur les terreurs de l'enfance et même encore de l'âge adulte. Ce film superbe, en noir et blanc, a été boudé par le public.Une suite de très beaux documentaires: "Elle s'appelle Sabine; Litvinenko; Rue Santa Fé". La fiction était très bien représentée avec: "Soyez sympas, rembobinez; Sweeny Tood; John John; et l'admirable film de Brian de Palma: Redacted; L'heure d'été."Et puis le chef-d'oeuvre que je découvrais "Viva la muerte" de Fernando ARRABAL. Film terrible, iconoclaste, dénonciateur, surréaliste, fantasmé, baroque. Les qualificatifs me manquent pour qualifier le choc que j'ai reçu lors de la projection du mardi 11 mars. La lecture de "La lettre à Franco" d'ARRABAL, faite le lendemain à la Médiathèque par la troupe"Le talon pourpre"apportait un éclairage intéressant sur le film vu la veille.Bien sûr, tous ces films ont été un peu (beaucoup) éclipsés par "Bienvenue chez les Ch'tis", véritable phénomène de société. Mais on ne va pas s'en plaindre, car il s'agit d'une très agréable comédie, très bien interprétée.Et puis il faut bien un peu de douceur dans ce monde de brutes! Mais ce film a tout de même été l'arbre (un baobab!) qui a caché la forêt de films plus apres mais superbes.
Cordialement.
Cinémavie

Cinéma Autopsie d'un meurtre


Pascal Mérigeau est journaliste au Nouvel Observateur.
Avec ce pamphlet sur le cinéma l’auteur analyse, décortique, les mécanismes de production des films, les rapports entre les gens de télé de cinéma et les spectateurs.
Pourquoi tout le monde veux voir Astérix ou bienvenue chez les ch’tis au même moment ?
Pourquoi un film qui coûte très cher et qui n’est pas amorti, rapporte de l’argent ?
Pourquoi un bon scénario n’est pas obligatoire ?
Nous pouvons lire sur la post face du livre,
« A force de ne pas dire que les films sont mauvais, on finit par les trouver bons »
Pascal Mérigeau
« Cinéma autopsie d’un meurtre » Flammarion Café Voltaire 12€